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A propos MELANIE MUNT:

 “L’impressionnante créatitvité de Melanie Munt

Melanie Munt? Un concentré d’énergie. Un corps en fusion. Une tête qui pense l’espace avec deux longueurs d’avance et qui brise l’écriture de cet espace au plus fort de la tension. Une artiste très influencée par les arts plastiques, qui part d’une théâtralité du mouvement pour arriver à la danse pure. »

Y-A Donzé, Le Quotidien Jurassien, 26 mars 09

« Melanie Munt,…figures féminines montantes de la nouvelle génération… »

NDD 4/4, Printemps 2007

“Petit Pulse, une pièce courte et minimaliste, d’une  beauté absolue. Melanie Munt façonne la lumière comme on déroule une toile. Et se laisse sculpter par la lumière. 15 minutes de poésie intégrale”

Y-A Donzé, Le Quotidien Jurassien, 26 mars 09

Coup de coeur pour Petit Pulse, chorégraphié par Melanie Munt, une petite puce belge qui monte.”

ELLE Belgique, nr 48, août 07


A propos de ITINERAIRE

Une danseuse d’exception

Melanie Munt en démonstration à Porrentruy avec la « Belge quinzaine »

Le Festival « Evi-danse »  … Figure de proue: Melanie Munt.

Originaire de Berlin, elle vit et travaille depuis 1996 à Bruxelles. Sa formation de danseuse est de haut niveau : New York, Vienne, Rotterdam et bien sûr Berlin !

« Itinéraire » est une réflexion chorégraphique « sur nos (ré)actions face à nos obstacles ». Coincée dans une caisse en bois, la tête en bas et les pieds au plafond, face à nous… Elle chante ! Soudain, elle s’échappe, court dans un labyrinthe, piégée comme une souris le serait. Son énergie est invraisemblable pour atteindre ses buts. Cette danseuse d’exception se désosse, se crée des obstacles. Beaucoup d’humour, d’autodérision, mais quelle adresse ! Son solo crée une ambiance kafkaïenne.
La création lumières de Laurence Halloy est magnifique, pure, sensuelle. La création sonore d’Antonin De Bemels est fine, juste, en phase des évolutions de la danseuse.
Un spectacle dans le cadre de la « Belge quinzaine ».

(Philippe Kientzy, L’Est Républicain, 1.4.2009)


A propos de POPSONGS

" Elle a dansé pour une foule de chorégraphes … et, à chaque fois, sa rigueur d'interprète convainc, sa précision fait mouche. … On découvre une demie heure d'une performance étonnante, qui allie l'électricité du geste à la surprise technologique. … On pense aux frères Lumière, aux fantasmagories de Robertson… La puissance de la danse n'en pâtit pas - elle s'en enrobe plutôt - …"

(Laurent Ancion, Le soir, 2.4. 2004)

A propos de SOLO AUF SCHWELLEN ET POPSONGS version courte sans vidéo au sein de concerts de musique contemporaine en collaboration avec Marco Blaauw

(français, voir plus bas)

" Solisten spielen erfrischend

Ravensburg - Ein erfrischendes Konzert mit ungewöhnlichen Instrumenten und drei bravourösen Solisten hat die "Gesellschaft für Neue Musik" in den Schwörsaal gebracht.

... Improvisationen, mehrfach an diesem Abend zwischen den Kompositionen, die Begegnungen sind... Annäherungen gegensätzlicher Partner, Dialoge aber auch Entgegnungen: Wenn Blaauw mit Gerald Barrys gemäßigter Atonalität den Raum penetriert, eine männliche Koloratur auf der Trompete, die keinen Widerspruch erlaubt, und dann, tonlos, ein weiblicher Körper antwortet: die Tänzerin Melanie Munt zuckt, verkantet, bricht auf, bis zur Ekstase, präzise und verknappt, Wille, Selbstbehauptung.
... Melanie Munt öffnet sich wie ein Schlemmerscher Torso in die Stille, ein Harlekin, menschliche Begriffe sich aneignend: greifen, nehmen, geben, schöpfen, umarmen. In radikaler Reduktion formt diese Tänzerin Bilder. Sie tanzt nicht auf eine Musik, sondern reagiert auf sie, deutet sie, nimmt sie auf, verwandelt sie.
Es war ein Konzert gegen das Gerücht, die Moderne sei ungenießbar.
"

Wolfram Frommlet, Schwäbische Zeitung,
Donnerstag, 13. April 2006 / Nr. 87

" Des solistes jouent de manière rafraîchissante

Ravensburg - La " Gesellschaft für Neue Musik" (Société pour la Nouvelle Musique) a présenté dans le Schwörsaal un concert rafraîchissant avec des instruments peu communs et trois audacieux solistes.

… Dans cette soirée plusieurs improvisations s'insèrent entre les compositions. Rencontres, rapprochements de partenaires opposés, dialogues et réponses : quand Blaauw pénètre l'espace avec l'atonalité atténuée de Gerald Barry, une coloration masculine de la trompette qui ne tolère aucune protestation, et puis, muet, un corps féminin répond : la danseuse Melanie Munt tressaille, perce, ouvre, jusqu'à l'extase, précise, concise, une volonté, une affirmation de soi.
… Melanie Munt s'ouvre dans le silence comme un torse de Schlemmer, un arlequin, s'appropriant des termes humains : empoigner, prendre, donner, puiser, embrasser. C'est avec une réduction radicale que cette danseuse crée des images. Elle ne danse pas sur une musique, mais elle y réagi, elle l'interprète, elle l'absorbe et la transforme.
Un concert contre le préjugé que la modernité serait inappréciable.
"

Wolfram Frommlet, Schwäbische Zeitung,
Jeudi, 13. avril 2006 / Nr. 87

 

A propos de BABBEL, première version 2006

" Nulle technologie, ou si peu, dans le trio "Babbel" de Melanie Munt qui, en compagnie de Ellen Schiess et Stéphane Hisler, sonde le souffle, le murmure qui traverse les corps, le cri qui libère, le non-dit qui s'insinue dans les esprits. Sur un plateau blanc et nu à l'exception de cylindres à tout faire, trois personnes/personnages, trois tempéraments, et entre eux des hésitations, des élans, des expectatives parfois cruelles, des essais timides, des audaces, des dépits.
L'interactivité n'est pas moins en action ici. Où les corps tantôt reproduisent les heurts du langage, tantôt tentent de transcender la faiblesse des mots. Où la voix, ténue, laisse voie au vécu.
"

(Marie Baudet, La Libre Belgique, 13/06/2006)


A propos de CO-INC.

Co-Incidence over kloof tussen ogen en oren

" Optreden Marco Blaauw, trompet; Yannis Kyriakides, elektronica; Melanie Munt, beweging; Martijn Grootendorst, live video projectie. Zondag 1 oktober bij Axes in De Witte Dame, Eindhoven.

Kunstenaars uit vier disciplines bij elkaar zetten om ze al improviserend op elkaar te laten reageren en zo tot iets nieuws te laten komen is een hachelijke zaak. Het wordt er zeker niet gemakkelijker op wanneer de ene helft zich richt op de ogen en de andere op de oren. Toch is dat wat vier vooraanstaande musici en kunstenaars gisteren bij Axes deden. Het werd een spannende belevenis vol onverwachte momenten.
Trompettist Marco Blaauw zette de toon met zijn zeer beheerste, zachte spel. Snelle loopjes, trage en vlotte golvingen kwamen met evenveel gemak uit zijn instrument. Computermusicus en componist Yannis Kyriakides pikte de tonen op, veranderde ze van timbre en toonhoogte, voegde er zacht sjirpende klanken aan toe en bracht ze zo weer in het totale geluidsbeeld. Videokunstenaar Martijn Grootendorst projecteerde zijn beelden op de vloer in het midden van een wijde kring stoelen waar de bezoekers op zaten. Hij begon met een simpele ovaal die trilde op de klanken van de muziek. Danseres Melanie Munt gebruikte dat beeld als uitgangspunt voor haar bewegingen, strekte zich uit binnen de vorm. Toen er een balk in het midden rond ging draaien, volgde ze die met haar armen, benen en hoofd.
Van daaruit ontwikkelde zich een spel van beeld en geluid dat op steeds wisselende manieren op elkaar betrokken was, maar waarbij je nooit kon zeggen welke kant het op ging. Het mooiste moment was toen Munt zich even uit het beeld terugtrok, en op een stoel in de kring ging zitten. Blaauw liep weg van zijn microfoon, stelde zich al spelend achter de kring op, waar Munt hem oppikte om hem naar het speelvlak te leiden. Daar stuurde ze zijn bewegingen, liet hem zitten, dan liggen, vlijde zijn hoofd vol zorg op de grond. Ze strekte zich naast hem uit, verstrengelde zich met hem. Alles in grote rust, terwijl Blaauw zijn zachte noten bleef spelen, terwijl Kyriakides orgelklanken uit zijn computer op deed klinken. Hier had je het gevoel dat alle elementen ineens in elkaar schoven en samen een groter geheel vormden. Al werd dat later weer doorbroken, de indruk van tot het uiterste geladen maar verstilde en ingehouden poëzie bleef nog lang hangen.
"

Door René van Peer voor het Eindhovens Dagblad van 2 oktober 2006